QO 26/4/22 à la Ministre Désir: Fonctionnement de l’enseignement en immersion en Fédération Wallonie-Bruxelles | Nicolas Janssen
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QO 26/4/22 à la Ministre Désir: Fonctionnement de l’enseignement en immersion en Fédération Wallonie-Bruxelles

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  • Résumé:

    M. Nicolas Janssen (MR). – Madame la Ministre, l’article 16, § 1er, du décret du 11 mai 2007 relatif à l’enseignement en immersion linguistique prévoit la création, au sein de l’Administration générale de l’enseignement et de la recherche scientifique, d’un organe d’observation et d’accompagnement de l’apprentissage par immersion.
    Madame la Ministre, pourriez-vous nous confirmer le rôle actif d’observation et d’accompagnement de cet organe? Comment s’articule-t-il dans le cadre actuel de l’enseignement en immersion? Il semblerait que ses membres actuels aient été, pour la plupart, nommés en 2008. Nous n’avons pas retrouvé dans le décret les règles spécifiques quant aux modalités de nomination ou de renouvellement. Pourriez-vous nous éclairer à ce sujet, notamment concernant les critères de sélection, la durée du mandat ou les compétences requises, comme la connaissance des deux langues nationales? Est-il prévu que cet organe d’observation et d’accompagnement présente des rapports? Si oui, ceux-ci sont-ils disponibles? Nous n’avons pas été en mesure de les trouver.
    Par ailleurs, l’article 35 du décret prévoit que, tous les trois ans, le Service général de l’inspection (SGI) adresse au gouvernement un rapport sur l’état de l’apprentissage par immersion au sein des écoles. Madame la Ministre, le SGI produit-il tous les trois ans un tel rapport? Ces rapports sont-ils réguliers et sont-ils disponibles? Ils avaient pour objectif de formuler des propositions pour améliorer le dispositif de l’immersion. Or en lisant la carte blanche de l’Union des parents des écoles d’immersion en néerlandais (UPIN) ainsi que le manifeste qu’elle vous a adressé et nous a communiqué à tous, force est de constater qu’il y a encore des écueils dans l’enseignement en immersion. Si les rapports de l’organe sont effectivement transmis, formulent-ils de telles propositions? Quelles sont les modalités d’application de ces propositions?
    Dans ces documents, l’UPIN a notamment mis en avant la nécessité de rendre le cadre de l’immersion plus uniforme. Madame la Ministre, partagez-vous ce constat ? En effet, une telle uniformisation contribuerait à la création d’un socle commun à tous les établissements, pour les cursus, les manuels, la formation continue, les référentiels, etc. L’UPIN demande régulièrement une reconnaissance en tant que filière et pas uniquement en tant que méthode pédagogique. Qu’en pensez-vous?
    Enfin, Madame la Ministre, serait-il possible de connaître le nombre d’élèves en immersion?

    Mme Caroline Désir, ministre de l’Éducation. – Monsieur le Député, je commencerai par rappeler que l’immersion reste une procédure pédagogique, visant à la fois à maîtriser les compétences et à acquérir progressivement la langue d’immersion. Les écoles et les équipes pédagogiques décident donc d’y recourir ou pas. Un cadre décrétal, en l’occurrence le décret du 11 mai 2007 relatif à l’enseignement en immersion linguistique, existe cependant et a créé un organe d’observation et d’accompagnement de l’apprentissage par immersion, pouvant formuler des propositions. Le dispositif impose également des rapports généraux, rédigés tous les trois ans par le SGI, permettant d’évaluer le niveau des apprentissages en langues, mais également dans les autres disciplines. Le dernier rapport, qui date de la fin de l’année 2019, s’est penché sur 55 des 123 établissements secondaires organisant l’immersion linguistique au cours des trois années précédentes. Ce rapport pointait différentes difficultés, dont, d’une part, le recrutement et, d’autre part, l’accompagnement des enseignants et enseignantes au sein des équipes pédagogiques, notamment pour élaborer les liens avec les autres aspects des programmes et des référentiels.

    Avec l’arrivée des référentiels du tronc commun tout comme avec la réforme de la gouvernance de nos établissements, l’enseignement en immersion devra à cet égard s’adapter à de nouveaux prescrits. Par ailleurs, il est nécessaire de renforcer l’attractivité de la profession pour les professeurs de langues modernes. À cet égard, plusieurs propositions seront très prochainement présentées au gouvernement. Le groupe de travail consacré aux enseignants de seconde carrière et plus particulièrement aux enseignants de langues modernes, a finalisé son rapport. Ce rapport sera soumis au gouvernement dans les prochaines semaines. Si l’organe d’observation et d’accompagnement de l’apprentissage par immersion s’est limité, pendant la pandémie, à se tenir informé des rapports du SGI, je l’ai sollicité pour me remettre un avis sur l’avant-projet de décret portant dispositions diverses aux fins de permettre l’apprentissage de deux langues modernes par immersion dès la première année de l’enseignement secondaire ordinaire et spécialisé.
    Cette instance exécute bien la mission que lui confère le décret «Immersion» en formulant des propositions visant à améliorer le dispositif d’apprentissage par immersion, notamment sur la base du rapport général rédigé tous les trois ans par le SGI. Les prochaines recommandations sont attendues pour la fin de l’année 2022. La nomination des membres de l’organe d’observation et d’accompagnement de l’apprentissage par immersion suit le prescrit du décret du 11 mai 2007. Je vous invite donc à relire l’arrêté du 27 octobre 2008 portant désignation des membres de cet organe. La dernière modification de ce texte réglementaire remonte au 23 avril 2020.

    En ce qui concerne la réforme des rythmes scolaires, les enseignants provenant des autres Communautés suivront le calendrier scolaire de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Notre souhait est de voir rapidement les autres Communautés nous emboîter le pas et adopter le nouveau calendrier.
    Dans la mesure où les compétences à atteindre sont identiques pour tous les élèves, qu’ils suivent un enseignement en immersion ou non, il semble logique que les épreuves externes communes visant à certifier l’acquisition de ces compétences soient dispensées dans la même langue pour tous. Par ailleurs, la confection d’épreuves différentes pour chacune des langues d’immersion est un processus beaucoup plus complexe qu’une simple traduction puisqu’il convient de garantir l’égalité du niveau de difficulté des épreuves. Si nous n’avançons pas sur ce point, c’est parce que nous devons absolument assurer l’objectif d’équité pour les épreuves externes communes. J’y suis extrêmement vigilante. À ce jour, je n’ai pas chargé la commission des référentiels et des programmes de travailler à l’élaboration d’un référentiel commun. Enfin, Monsieur Janssen, je vous remets les documents relatifs au nombre d’élèves en immersion.

    M. Nicolas Janssen (MR). – Je vous remercie, Madame la Ministre, pour toutes ces précisions sur la composition de l’organe d’observation et d’accompagnement de l’apprentissage par immersion. Celui-ci joue un rôle actif puisque vous avez récemment sollicité son avis et que ses prochaines recommandations sont attendues pour la fin de 2022. Concernant le rapport général sur l’état de l’apprentissage par immersion, vous nous avez indiqué que le dernier rapport datait de 2019. Nous sommes donc impatients de connaître les mesures qui seront proposées afin de renforcer l’attractivité de la profession. Enfin, je vous remercie pour les chiffres que je consulterai avec intérêt.

     

    Retrouvez question et réponse dans leur intégralité ci-dessous après l’image

  • Compte-rendu intégral

    M. Nicolas Janssen (MR). – Madame la Ministre, l’article 16, § 1er, du décret du 11 mai 2007 relatif à l’enseignement en immersion linguistique prévoit la création, au sein de l’Administration générale de l’enseignement et de la recherche scientifique, d’un organe d’observation et d’accompagnement de l’apprentissage par immersion. Cet organe a trois missions: formuler des propositions visant à améliorer le dispositif d’apprentissage par immersion, remettre un avis à la Commission de pilotage du système éducatif (Copi) et formuler des propositions concernant la formation en cours de carrière des enseignants exerçant leurs fonctions dans le cadre de l’apprentissage par immersion.
    Madame la Ministre, pourriez-vous nous confirmer le rôle actif d’observation et d’accompagnement de cet organe? Comment s’articule-t-il dans le cadre actuel de l’enseignement en immersion? Il semblerait que ses membres actuels aient été, pour la plupart, nommés en 2008. Nous n’avons pas retrouvé dans le décret les règles spécifiques quant aux modalités de nomination ou de renouvellement. Pourriez-vous nous éclairer à ce sujet, notamment concernant les critères de sélection, la durée du mandat ou les compétences requises, comme la connaissance des deux langues nationales? Est-il prévu que cet organe d’observation et d’accompagnement présente des rapports? Si oui, ceux-ci sont-ils disponibles? Nous n’avons pas été en mesure de les trouver.

    Par ailleurs, l’article 35 du décret prévoit que, tous les trois ans, le Service général de l’inspection (SGI) adresse au gouvernement un rapport sur l’état de l’apprentissage par immersion au sein des écoles. Madame la Ministre, le SGI produit-il tous les trois ans un tel rapport? Ces rapports sont-ils réguliers et sont-ils disponibles? Ils avaient pour objectif de formuler des propositions pour améliorer le dispositif de l’immersion. Or en lisant la carte blanche de l’Union des parents des écoles d’immersion en néerlandais (UPIN) ainsi que le manifeste qu’elle vous a adressé et nous a communiqué à tous, force est de constater qu’il y a encore des écueils dans l’enseignement en immersion. Si les rapports de l’organe sont effectivement transmis, formulent-ils de telles propositions? Quelles sont les modalités d’application de ces propositions?
    Dans ces documents, l’UPIN a notamment mis en avant la nécessité de rendre le cadre de l’immersion plus uniforme. Madame la Ministre, partagez-vous ce constat quant à ce besoin d’uniformité, par exemple pour le nombre d’heures en immersion par rapport à l’âge du début de l’immersion, pour les matières qui sont données en langue cible, etc.? En effet, une telle uniformisation contribuerait à la création d’un socle commun à tous les établissements, pour les cursus, les manuels, la formation continue, les référentiels, etc. Celui-ci permettrait de stabiliser et de développer cette filière spécifique, d’aider les enfants dans leur scolarité et de faciliter les changements d’école pour les enfants. L’UPIN demande régulièrement une reconnaissance en tant que filière et pas uniquement en tant que méthode pédagogique. Qu’en pensez-vous?
    Enfin, Madame la Ministre, serait-il possible de connaître le nombre d’élèves en immersion? Certains relevés parlent de 40 000, mais, selon d’autres, ce nombre ne serait plus d’actualité. Il est important de disposer de chiffres clairs afin d’apporter une plus grande transparence sur l’immersion linguistique.

    Mme Caroline Désir, ministre de l’Éducation. – Monsieur le Député, la question de l’apprentissage des langues recouvre un vaste champ, selon qu’elle est appréhendée sous l’angle de la méthodologie, en particulier pour ce qui nous concerne aujourd’hui, de l’immersion linguistique, ou sous la problématique des enseignants et enseignantes de cette discipline. Je commencerai par rappeler que l’immersion reste une procédure pédagogique, visant à la fois à maîtriser les compétences et à acquérir progressivement la langue d’immersion. Les écoles et les équipes pédagogiques décident donc d’y recourir ou pas. Un cadre décrétal, en l’occurrence le décret du 11 mai 2007 relatif à l’enseignement en immersion linguistique, existe cependant et a créé un organe d’observation et d’accompagnement de l’apprentissage par immersion, pouvant formuler des propositions. Le dispositif impose également des rapports généraux, rédigés tous les trois ans par le SGI, permettant d’évaluer le niveau des apprentissages en langues, mais également dans les autres disciplines. Le dernier rapport, qui date de la fin de l’année 2019, s’est penché sur 55 des 123 établissements secondaires organisant l’immersion linguistique au cours des trois années précédentes. Ce rapport pointait différentes difficultés, dont je retiendrai surtout, d’une part, le recrutement et, d’autre part, l’accompagnement des enseignants et enseignantes au sein des équipes pédagogiques, notamment pour élaborer les liens avec les autres aspects des programmes et des référentiels. Si l’inspection a souligné le caractère très volontariste et motivé des membres du personnel enseignant en immersion, il n’en demeure pas moins que l’organisation d’une filière immersive doit être pensée au sein de l’équipe pédagogique, ce qui n’est pas toujours évident. Avec l’arrivée des référentiels du tronc commun tout comme avec la réforme de la gouvernance de nos établissements, l’enseignement en immersion devra à cet égard s’adapter à de nouveaux prescrits. Par ailleurs, il est nécessaire de renforcer l’attractivité de la profession pour les professeurs de langues modernes. À cet égard, plusieurs propositions seront très prochainement présentées au gouvernement. Parmi ces propositions figure la possibilité de reconnaître comme composante du titre de capacité la réussite d’examens en langues auprès d’opérateurs nationaux ou internationaux.

    Le groupe de travail consacré aux enseignants de seconde carrière et plus particulièrement aux enseignants de langues modernes, a finalisé son rapport. Nous avons créé ce groupe de travail parce que nous devions anticiper l’arrivée du tronc commun en troisième année primaire, moment où nous allons généraliser l’apprentissage de la première langue étrangère en Wallonie. Ce rapport sera soumis au gouvernement dans les prochaines semaines. Le ministre-président a par ailleurs également des contacts avec les représentants des autres entités au sujet des échanges de professeurs. Si l’organe d’observation et d’accompagnement de l’apprentissage par immersion s’est limité, pendant la pandémie, à se tenir informé des rapports du SGI, je l’ai sollicité pour me remettre un avis sur l’avant-projet de décret portant dispositions diverses aux fins de permettre l’apprentissage de deux langues modernes par immersion dès la première année de l’enseignement secondaire ordinaire et spécialisé. Je vous confirme donc son rôle actif en matière d’apprentissage par immersion.
    Cette instance exécute bien la mission que lui confère le décret «Immersion» en formulant des propositions visant à améliorer le dispositif d’apprentissage par immersion, notamment sur la base du rapport général rédigé tous les trois ans par le SGI. Les dernières recommandations que l’organe a adressées au gouvernement datent de décembre 2017. Elles n’ont pas été renouvelées en 2019 parce que les membres de l’organe ont estimé que leurs recommandations de 2017 étaient toujours valables. Les prochaines recommandations sont attendues pour la fin de l’année 2022. La nomination des membres de l’organe d’observation et d’accompagnement de l’apprentissage par immersion suit le prescrit du décret du 11 mai 2007. Je vous invite donc à relire l’arrêté du 27 octobre 2008 portant désignation des membres de cet organe. La dernière modification de ce texte réglementaire remonte au 23 avril 2020.

    La composition de cet organe me semble adaptée. Les membres du SGI effectuent le travail d’approche des écoles, les représentants de la Direction générale des personnels de l’enseignement font en sorte que les implications de l’apprentissage en immersion sur les carrières des enseignants soient prises en compte et les experts en pédagogie mènent une réflexion constante et plus globale sur les finalités, les missions et les pratiques pédagogiques. Cet organe constitue donc le lieu de rencontre privilégié pour aborder l’enseignement en immersion en combinant ces trois approches complémentaires. En ce qui concerne la réforme des rythmes scolaires, les enseignants provenant des autres Communautés suivront le calendrier scolaire de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Nous avons déjà largement évoqué cette problématique. Notre souhait est de voir rapidement les autres Communautés nous emboîter le pas et adopter le nouveau calendrier. La problématique des évaluations externes est un sujet dont nous avons également déjà débattu à de nombreuses reprises durant la précédente législature.
    J’ai déjà eu beaucoup d’échanges avec l’administration à ce sujet. Dans la mesure où les compétences à atteindre sont identiques pour tous les élèves, qu’ils suivent un enseignement en immersion ou non, il semble logique que les épreuves externes communes visant à certifier l’acquisition de ces compétences soient dispensées dans la même langue pour tous. Par ailleurs, la confection d’épreuves différentes pour chacune des langues d’immersion est un processus beaucoup plus complexe qu’une simple traduction puisqu’il convient de garantir l’égalité du niveau de difficulté des épreuves. Les experts en didactique de la matière concernée ne maîtrisent pas forcément les nuances des différentes langues et les traducteurs ne connaissent pas forcément les référentiels sur lesquels les épreuves sont basées. Si nous n’avançons pas sur ce point, c’est parce que nous devons absolument assurer l’objectif d’équité pour les épreuves externes communes. J’y suis extrêmement vigilante. Ces épreuves communes, pour être considérées comme des épreuves certificatives externes, doivent absolument répondre à un certain nombre d’exigences. À ce jour, je n’ai pas chargé la commission des référentiels et des programmes de travailler à l’élaboration d’un référentiel commun. Enfin, Monsieur Janssen, je vous remets les documents relatifs au nombre d’élèves en immersion.

    M. Nicolas Janssen (MR). – Je vous remercie, Madame la Ministre, pour toutes ces précisions sur la composition de l’organe d’observation et d’accompagnement de l’apprentissage par immersion. Celui-ci joue un rôle actif puisque vous avez récemment sollicité son avis et que ses prochaines recommandations sont attendues pour la fin de 2022. Concernant le rapport général sur l’état de l’apprentissage par immersion, vous nous avez indiqué que le dernier rapport datait de 2019. Nous sommes donc impatients de connaître les mesures qui seront proposées afin de renforcer l’attractivité de la profession. Enfin, je vous remercie pour les chiffres que je consulterai avec intérêt.

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