NICOLAS
JANSSEN
  • Actualités et Presse
  • Qui suis-je
  • Nicolas
    Janssen
  • Mes engagements
  • Contact
  • Actualités et Presse
  • Qui suis-je
  • Nicolas
    Janssen
  • Mes engagements
  • Contact

Retour

Entrepreneuriat & innovation

Le MR est souvent décrit comme étant “le parti des indépendants”. Je ne pense pas devoir vous convaincre que l’entrepreneuriat fait en effet partie de l’ADN libéral. Réformateur rime avec entrepreneur.
  • Mais je souhaite ici faire également rimer entrepreneuriat libéral avec… entrepreneuriat social ou sociétal. La Wallonie a besoin de cette dynamique entrepreneuriale qui génère de la valeur partagée et des emplois. Les entrepreneurs et entrepreneuses répondent à des besoins de société. Soutenons-les! Soyons aux côtés de ces femmes et ces hommes qui apportent des solutions innovantes et génèrent des emplois durables. Bravo et merci à toutes les personnes qui, par leur travail, par leur entreprise, contribuent à notre bien commun, financent notre sécurité sociale, créent des emplois !

    La planète a besoin d’être “protégée”, mais plus encore d’être “régénérée”. C’est aussi en cela que je me sens libéral : aucun autre parti n’intègre aussi bien, à mon sens, cette dynamique entrepreneuriale, régénérative, créative, que le MR. Ensemble, transformons donc nos écosystèmes, en profondeur et sans tarder !

    Dès 2024, comme voulu par la sixième réforme de l’Etat, les mécanismes de solidarité entre le Nord et le Sud du pays iront décroissant: moins 60 millions en 2025, moins 120 millions l’année suivante, etc. jusqu’à 600 millions de moins après dix ans ! Parviendrons-nous néanmoins à tenir le cap voulu pour notre Région ? La réponse dépend de notre capacité à nous prendre en main. Alors, sans attendre, engageons-nous et co-créons collectivement notre avenir !

  • 1. Tous acteurs du changement

  • Apparu au cours des années 1990, l’entreprenariat social connaît un succès croissant. Il s’agit des initiatives entrepreneuriales dont la finalité est sociale, sociétale ou environnementale.

    Les entrepreneurs sociaux développent typiquement des modèles « hybrides » de création de valeur. Ces personnes identifient des approches innovantes et utilisent la dynamique entrepreneuriale pour répondre à des questions sociétales pressantes, sur des thèmes tels que l’écologie, l’emploi, le logement, l’éducation, l’alimentation, l’agriculture, la mobilité… Elles ne cherchent donc pas nécessairement à s’approprier de la valeur, mais surtout à créer de la valeur sociétale. Le secteur public aurait à mon sens tout intérêt à faire davantage appel à son potentiel.

    Si vous ne l’avez pas encore lu, je vous conseille à ce sujet le livre d’Emmanuel Faber, CEO de Danone, intitulé « Chemins de traverse ». A sa lecture, l’on ne peut s’empêcher de se demander comment une entreprise ou une administration pourrait mieux soutenir les différents écosystèmes dont elle fait partie.

    Vous pourriez toutefois me renvoyer la question: qu’attendent les partis politiques pour coopérer, dialoguer, inspirer, co-créer avec les entrepreneurs sociaux? Je serais entièrement d’accord avec vous.
    Devenons tous acteurs du changement. Comme l’écrit l’analyste Ian Bremmer dans son livre « G-zero », on ne peut plus dire que certaines nations dirigent le monde, comme c’était le cas aux 19ème et 20ème siècles. Bonne nouvelle: ce ne sont plus quelques chefs d’Etat qui décident tout. Le pouvoir de chacun va crescendo. Nous avons, globalement, un contrôle démocratique croissant sur le monde qui nous entoure. Le pouvoir est toujours plus éclaté, moins pyramidal. Faisons-en bon usage!
    Et les citoyens s’engageront toujours plus volontiers si du secteur public et des partis politiques rayonnent une énergie constructive et lumineuse, une dynamique inclusive et respectueuse des principes du vivant. N’oublions pas que la nature est notre mentor, comme l’affirme avec tant de justesse le bio-mimétisme.

    Parmi d’autres exemples concrets liés à l’entrepreneuriat social, je citerais ce qu’on appelle l’« impact investing » (à savoir des investissements qui produisent, outre un return financier, également un return social ou environnemental) ou encore les obligations à impact social, qui se multiplient en Europe et devraient être encouragées par les pouvoirs publics.

  • 2. Favoriser de nouvelles prises de conscience: le pouvoir du récit, l’imaginaire comme réponse à nos crises successives

  • « Les hommes doivent être devant une crise intense pour changer de conscience », écrit Satprem en Inde, à Auroville. Quelle époque complexe nous traversons… Quel sens donner à ces crises successives, sur les plans économique, politique, sanitaire, écologique ? S’agit-il d’autant de remises en question de nos habitudes, de nos modes de vie ? En France, Pierre Rabhi appelle à « l’insurrection des consciences ». Jeremy Rifkin, déjà cité ci-dessus, met quant à lui l’accent sur l’empathie, dans son livre intitulé « Une nouvelle conscience pour un monde en crise ».

    De même, Bill Drayton, le fondateur du réseau d’entrepreneurs sociaux Ashoka, considère depuis plusieurs années que l’empathie est une des clés de la solution. Permettre l’apprentissage de l’empathie est devenu sa priorité. Comment faire en sorte que chaque citoyen maîtrise les compétences qui lui permettront de devenir un acteur de changement ?

    Comment apprendre à créer son avenir ? Comment ne pas subir, dans un monde qui change à une vitesse toujours croissante ? Pour qu’une institution puisse s’adapter à ces changements et continuer à répondre aux besoins nouveaux, il est nécessaire, d’après l’initiative « Ashoka empathie/compétences du changement », de développer une formidable capacité d’empathie.

    L’initiative soutient dès lors toute une série de projets favorisant le développement de ces compétences, telles que la gestion des relations interpersonnelles, la communication non-violente, l’intelligence émotionnelle, la connaissance de soi, et ce à différents stades de la vie : depuis l’enfant (via l’initiative de Mary Gordon, par exemple, intitulée « Racines de l’empathie »), jusqu’à l’adolescent (cfr. le travail de notre compatriote Arnoud Raskin et ses ‘écoles mobiles’) et l’adulte (cfr. Andreas Heinecke, ‘Dialogue in the dark’). N’est-ce pas par cette transformation sur le plan individuel, via des prises de conscience nouvelles, que l’on peut, de manière harmonieuse et heureuse, déplacer des montagnes au niveau collectif ?

    Osons innover. Certains semblent penser que « secteur public » est incompatible avec «solutions innovantes » ! Réconcilions ces notions.

    “It’s all about ideas », entend-on souvent. Notre époque est celle des idées. Le succès de la plateforme TED.com le prouve. L’idée que je vous propose ? Le secteur public aussi peut être un terreau de créativité ! Et comme l’écrivait Victor Hugo, « rien n’est plus puissant qu’une idée dont le temps est venu ». Ne sous-estimons pas le pouvoir du récit… et encore moins le potentiel de l’imaginaire comme réponse aux crises successives que nous traversons.

Questions parlementaires

  • QO 17/01/23 à la Ministre Morreale : l’opinion semestrielle de l’Union wallonne des entreprises (UWE) à propos de l’emploi au sein de l’économie wallonne
  • QE 11/01/23 au Ministre Borsus: le lancement d’Odyssée 2068 de l’Union wallonne des entreprises (UWE) et la création de « Wallonia Institute of Technology
  • QE 09/12/22 au Ministre Borsus: le dispositif « Générations Entreprenantes » de la SOWALFIN
  • QE 09/12/22 au Ministre Borsus: le soutien au développement des PME wallonnes
  • QE 8/7/22 au Ministre Di Rupo: La coordination des indicateurs de transition énergétique, économique, écologique et sociétale de la Wallonie
  • QO 10/5/22 à Mme Linard: Politique commune «Culture et Santé»
  • QE 20/4/22 à la Ministre De Bue: La simplification administrative
  • QO 20/4/22 au Ministre-Président Di Rupo: L’adéquation des dispositifs wallons et européens concernant le service civique
  • QE 24/3/22 à la Ministre De Bue : La simplification administrative et les pouvoirs locaux
  • QE 9/3/22 au Ministre Henry: Le projet Navajo à Ottignies-LLN
  • QE 12/3/21 à Mme Morreale : Les territoires zéro chômeur de longue durée
  • QO 2/3/21 à Mme Morreale : Les besoins de formation dans la filière Biotech/biopharma en Wallonie

En savoir plus

Député wallon et à la Fédération Wallonie-Bruxelles
  • Actualités et Presse
  • Qui suis-je
  • Éducation & enseignement
  • Environnement & transition
  • Entrepreneuriat & innovation
  • Démocratie participative & intelligence collective
  • La HULPE / BW, tous mobilisés !
  • Contact
© 2023 Vie Privée

{{'POUR_AMELIORER_VOTRE_EXPERIENCE' | translate}}. {{'EN_SAVOIR_PLUS' | translate}} ›