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Notre monde évolue à une vitesse vertigineuse. Ces changements ont un potentiel énorme mais s’accompagnent également d’incertitudes, de complexité et de l’interdépendance globale… Il faudrait donc mettre l’accent sur l’acquisition de compétences transversales et sur le “savoir-être” en évitant de se concentrer trop exclusivement sur le “savoir” et le “savoir-faire”.
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l’enjeu n’est plus tant de perpétuer un savoir figé mais bien de former des êtres humains à affronter un avenir complexe qui sera différent du présent
(Hertig & Varcher, 2004)
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Je pense ainsi au développement de la créativité, à l’esprit critique, la collaboration, la prise d’initiative, la flexibilité, l’intelligence numérique, la communication, au respect du vivant et à l’empathie (oui, cela s’apprend!). De plus, j’aimerais beaucoup que nos jeunes puissent être initiés à des outils de reconnaissance et de “gestion” d’émotions dont la pleine conscience (que je tente d’ailleurs de pratiquer personnellement ;-)).
J’aimerais voir ces “compétences du 21ème siècle” dans les référentiels et qu’une certaine liberté soit donnée au corps enseignant afin que ses membres puissent prendre le temps nécessaire pour intégrer des pratiques de bien-être et construire un lien de confiance avec leurs élèves.
Questions parlementaires
- QO 10/5/22 à Mme Glatigny: «Attractivité des filières scientifiques, technologiques et numériques dans l’enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles»
- QO 26/4/22 à Mme Désir: «Processus citoyen dans les écoles»
- QO 26/4/22 à la Ministre Désir: «Fonctionnement de l’enseignement en immersion en Fédération Wallonie-Bruxelles»
- QE 1/04/22 à la Ministre Glatigny : Évaluation du travail du Forum des Jeunes